Débuté trois mois après le décès de Renaud et poursuivi durant deux années, ce journal n’est pas le monologue d’une maman mais un dialogue avec son enfant. Il décrit le quotidien d’un chagrin qui évolue et se transforme. Bâtir une nouvelle existence en laissant lentement s’infiltrer la petite lumière de l’absent transforme les gestes, les goûts, les humeurs. Les mots existent pour survivre, construire d’autres marques et apprivoiser le manque sans rien oublier.


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