C’était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d’Hamilcar…
Ainsi débute Salammbô de Flaubert, et cette idée je la dois à … je ne sais plus à qui, qu’il veuille ici se dénoncer immédiatement. Trêve de prétention littéraire, on pourrait noyer le crocodile en préparant un tout autre environnement que celui-là, qu’en pensez-vous ? C’était à Louvain-la-Neuve, faubourg de Bruxelles, dans les jardins de ma commune… Hou, siffle le peuple exaspéré et déçu, c’est pas drôle, c’est pas top, peut mieux faire…
Mais tiens, n’est-ce pas le moment de lancer ici le nouvel agenda ironique du mois prochain ? Qui plus est, grâce à Émilie et à Camille, nous avons du rab dans le timing ! Youpi. Un mois pour pondre un texte digne de mwa-twa-swa, nous, vous, ils, de nos voleurs ! Donc, mes joyeux et fidèles complices, lancez-vous dans la grande aventure avec cette première consigne, celle d’un titre imposé : « C’était à … faubourg de… dans les jardins de ou d’…. » que vous aurez l’amabilité, l’obligeance et la grande bonté de compléter selon vos désirs le plus fous.
Deuxième consigne. Ces illustrations vous aideront ( ?) peu ou prou. Non, ne hurlez pas « c’est un scandale » ! Ne vous sauvez pas ! Au mois de septembre passé, je vous avais fait le même coup ! Si d’aucuns étaient partis en courant, d’autres par contre, mordant avec audace dans ce défi, avaient découvert sous leur propre plume des univers dont ils ne soupçonnaient ni l’existence ni les enjeux. Souvenons-nous des leçons de Taurus, notre cher et distingué professeur, et de Mademoiselle Dithyrambe, alter ego de Martine l’Écrevisse. Vous pouvez vous servir d’un des collages, ou des deux, comme vous le déciderez…
Et puis, je pimente tout ça en pensée pour Asphodèle en imposant quelques mots supplémentaires (je cherche mon dictionnaire, un instant…) et j’inscris ici en lettres d’or : cannibale, fourbir, niquedouille, praliné, rentable, sautiller, tellurique. Repris par ordre alphabétique, selon l’ouverture de mon dico de 1979, ces mots n’en restent pas moins frais comme des gardons. Vous les intègrerez où vous voulez, dans la poche de votre pantalon, en turban sur la tête, autour de votre cou, pourvu qu’ils y soient.
Vous n’aurez aucune limite quant au nombre de mots et vous aurez le choix du style, en prose, en vers, en chansoème (invention de mon ami Lolo), comme vous voulez.
Allez ! Vous avez un mois, jusqu’au 24 juin pour poster votre ou vos texte(s) inspiré(s), un mois entier (merci Anne !) pour peaufiner, chouchouter, materner, avant d’envoyer sous le feu et l’appréciation toujours bienveillante des votants.
Je ne sais toujours pas comment faire pour établir les magnifiques tableaux de vote qu’Émilie et les autres manient si bien mais j’ai trouvé grâce au Dodo bienveillant, la commande « sondage » dans la rubrique «tableau de bord » et « réglages ». Le reste, l’odeur de l’ail et les plantes vertes pour l’agrémenter, nous verrons. Et arrêtez de moi vous foutez, comme j’y disais à l’autre, c’est un ordre !
En avant, toutes ! Hardis les gars, larguez les amarres, laissez-vous aller, surprenez les méchants, sus aux haricots, branlebas de combat. (La nouvelle orthographe est hautement tolérée et non toxique). Aucun retard ne sera sanctionné.
Vous m’avez voulu, vous m’avez eue…
ET LES TEXTES : c’est ici
Bonjour,
Ce célèbre incipit de Flaubert, j’avoue un peu honteux (pas trop) l’avoir déjà utilisé…
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C’est un phrase que j’aime bien. « c’était à Megara, faubourg de Carthage » pour signaler que j’entrevois un égoïsme suicidaire de bourgeois bien pensant à l’oeuvre.
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Ping : Agenda ironique de juin 2016 – Épisode 42 – Les aventures de Sibelius – C’était sur Grouse Island, faubourg du Crannog, répertorié 25-B-sixty four – dans les jardins du château d’Eileanne Dohanne | Anne de Louvain-la-Neuve
Ping : Hallucinations | La jument verte
Ping : C’était à Saintes faubourg Berthonnière dans les jardins du Monard tout près de la place Blair – patchcath
Ping : C’était jadis, faubourg des Illusions Perdues, dans les jardins des Dames. Tu te souviens? | Les Petits Cahiers d'Emilie
Voici le lien
http://lespetitscahiersdemilie.com/2016/06/24/agenda-ironique-de-juin/
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Et bien, voilà le lien de ma piètre participation! Mais je suis contente d’avoir pondu quelque chose in extremis 😀
https://lespetitscahiersdemilie.wordpress.com/agenda-ironique-de-juin
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Ping : C’était à Bourg-Empresse, faubourg Joie (gentilhomme), dans les jardins de l’abbé Cédaire. | L'impermanence n'est pas un rêve
Madame de Louvain,
L’aspect hautement anthropophage de la situation ayant su retenir toute l’attention de notre implantation associative, nous vous remercions d’avoir eu cette générosité de nous diriger avec autant de pertinence envers et contre l’agence st Idesbald qui a su combler toutes nos attentes les plus inavouées. N’accepteriez-vous pas cette gigue d’agenda fraîchement rôtie que voici pour vous en remercier.
Avec toute notre gratitude.
Mademoiselle Inès Karta Fitzgerald
https://jobougon.wordpress.com/2016/06/19/cetait-a-kale-en-bourg-faubourg-de-karta-sans-gene-dans-les-jardins-dalek-sans-drille/
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J’y cours, j’y cours… Encore un, mais je suis essoufflée de tout ce monde sur la ligne d’arrivée. Et puis la Karta, elle a bien raison d’être sans gêne quand on voit là où les autres ne vont pas !
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Ping : C’était à Kale-en-Bourg, faubourg de Karta-sans-Gène, dans les jardins d’Alek-sans-Drille. | L'impermanence n'est pas un rêve
Bonsoir Anne,
Et la Belette pose son lien ici :
https://michellelabelette.wordpress.com/2016/06/19/cetait-il-y-a-fort-longtemps-a-takalele-la-foret-noire
La bise ; )
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Et courrez sans attendre pour y gouter cette audacieuse friandise impertinente et drôle à souhait !
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Ping : C’était à Opio en Provence, faubourg de Cannes, dans les jardins du club Med… – grumots
Et voilà ma contribution du mois, un peu en désordre, comme dans ma tête 🙂
https://palettedexpressions.wordpress.com/2016/06/17/cetait-a-trucmuche-faubourg-de-machin-chose-dans-les-jardins-de-loncle-untel-au-fin-fond-de-la-campagne-anglaise/
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Comment en désordre ? Je n’ai rien vu à torchonner ou à dépoussiérer, rien du tout ! Ah, ce Nicodème, quel benêt ! Ah, ce tea-time, un délice…
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Ping : C’était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d’Hamilcar | Carnets Paresseux
Bon, fait : les jardins ouvrent dans 10 minutes 🙂
https://carnetsparesseux.wordpress.com/2016/06/16/cetait-a-megara-faubourg-de-carthage-dans-les-jardins-dhamilcar/
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Ping : Encore quelques jours pour rejoindre le défi de l’agenda ironique de juin 2016 | Anne de Louvain-la-Neuve
Ping : Agenda ironique de juin 2016 – Épisode 42 – Les aventures de Sibelius – C’était sur Grouse Island, faubourg du Cranog, répertorié 25-B-sixty four – dans les jardins du château d’Eileanne Dohanne | Anne de Louvain-la-Neuve
Voili voilou : un ptit tour en Écosse : https://lajumentverte.wordpress.com/2016/06/05/un-dimanche-chez-le-clan-mcknee/
Bisesss 🙂
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C’est inséré dans les textes et ton petit voyage écossais, ça m’a vraiment bien plu !
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Ping : Un dimanche chez le clan McKnee | La jument verte
Plus c’est dur, plus c’est dur ! Je refuse de désobéir en ne respectant pas scrupuleusement toutes les consignes au millimètre. J’ai mesuré, elle font exactement trois fois plus long que la moyenne des mailles endroit de mon dernier bonnet porté au berceau, et si je pense à ce dernier, c’est bien qu’il s’est passé quelque chose en son sein.
Je dépose donc son armature ici et par ce lien, ainsi soit-il, amen.
https://jobougon.wordpress.com/2016/06/05/trefle-a-quatre-fers-dents-de-viperes-aucun-rapport-mais-on-sen-fout/
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Tout est noté, commenté, apprécié, et ma foi, très fort ! Du costaud, celle-là.
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Ping : Trèfle à quatre fers, dents de vipères, aucun rapport mais on s’en fout | L'impermanence n'est pas un rêve
Ping : Agenda ironique en juin ter | Les mots autographes
Oh! Punaise! J’étais venue lire ce billet fin mai. J’avais cru à une hallucination…Je reviens le lire aujourd’hui…Rien n’a changer…Po po po…Heureusement, on a jusqu’au 24 juin… 😀 😀 😀
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Très chère fidèle cloutée, hélas, non, non rien n’a changé, tout tout a continué, yéh yéh…
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Ping : Les textes de l’agenda ironique de juin 2016 | Anne de Louvain-la-Neuve
Tout frais miaouté
https://1pattedanslencrier.wordpress.com/2016/06/03/concours-agenda-ironique-de-juin-2016/
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Ping : Concours agenda ironique de Juin 2016 | Une patte dans l'encrier
Ping : AGENDA IRONIQUE en juin bis | Les mots autographes
bonjour
Voici un texte agendien en ironie juine à lire sur http://jacou33.wordpress.com/2016/06/02/agenda-ironique-de-juin/
Bises jacquelines
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J’y vais, j’y viens, j’y cours ! Brillant !
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Ping : AGENDA IRONIQUE de juin | Les mots autographes
C’était à Louvain-la-Neuve, faubourg d’Ottignies dans le jardin botanique ; là, une cannibale fourbue, pauvre niquedouille écœurée des pralinés acquis au 32 de la Grand-Place – un commerce rentable, au demeurant -, sautillait parmi les crocodiles avant d’aller suivre le cours dispensé à l’Université Catholique sur la terre et les planètes telluriques.
ça compte ? 🙂
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Vous aurez dix sur dix, cher Dodo. Tous les mots comptent et tous sont sacrés. Amen.
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Merci ! Je me suis dit qu’il fallait penser global et jouer local.. Cela dit, le 32 de la Grand-Place, c’est vraiment une bonne maison ? Je suis pas certain qu’ils fassent des pralinés….
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Ping : C’était à Louvain-la-Neuve, faubourg d’Ottignies, dans le jardin botanique… | Carnets Paresseux
carrément fou et délirant!
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On attend donc un patchwork de mots et de délires, non ? bien à vous…
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Bien, bien, bien… Du potentiel d’expression des contraintes… 🙂 🙂
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Joliment dit…
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Megara, Mégara j’ai déjà entendu parler de celà, mais je ne crois pas que nous ayons les mêmes sources :)))
j’avons raté le début, merci la grève de m’avoir donné le temps de batifoler un peu sur les blogs de neurones en folie, comme quoi le désordre a du bon !
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Je le savais qu’on venait quand même de la même galaxie ! Prends la navette XV22ab!çè12B24 et rejoins-nous vite…
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Alors j’accepte ! – quelque peu intimidé par tes nombreuses fréquentations que je ne connais pas.
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Cher J.C., je ne les connais pas plus que toi. C’est ça, les blogs. On se fait des amis sans se connaitre, c’est génial. On a tous les avantages sans les inconvénients !
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Tu n’as jamais demandé à Sibelius de mener l’enquête… Moi, Flanagan m’a fait un rapport circonstancié sur chacun de vous !
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Ce Flanagan, quand même ! Il doit être mieux payé que Sibelius qui travaille davantage en nature…
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C’est vrai que ce Sibélius me semble prompt à se dé-rober en toutes occasions !! Leste du déburage, l’oiseau !!
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Bien entendu, je charriais un peu, manière de poser des mots – je pratique les blogs depuis 2005, j’en ai eu une quinzaine. La plupart étaient payants à cette époque.
Ce blog WordPress est-il gratuit ?
J’envisage d’essayer cet hébergeur, apparemment mieux adapté que Canalblog à la littérature…
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Bonjour J.C. Je vous réponds enfin après un weekend un peu chargé. Oui, le blog que j’utilise chez WordPress est gratuit (d’autres sont payants). Et je trouve qu’il est pratique, lisible, clair. Pas très fourni au niveau des liens possibles mais pour moi, suffisant. A très bientôt.
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Ça démarre sur les chapeaux de roues. Je vais regarder passer les bolides. Vroum, vroum! Je ne peux pas participer vu que chez moi, il n’y a plus d’essence (plus de sens?).
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Mais enfin Mo, avec un jardin comme le tien ? plus de sens ? C’est pas l’hôpital qui se moque de la charité ? Je parie que les fleurs t’assaillent d’odeurs et de couleurs ! Veinarde. Mais, je te rassure, l’agenda n’est pas une obligation légale comme le vote en Belgique. Mais par contre, tes commentaires sont toujours les bienvenus et je t’en remercie…
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J’aurais bien besoin d’un verre d’alcool de betterave pour démarrer celui-là… Pour l’instant, cale sèche !!
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Cale sèche, bien sûr ! c’est l’effet de surprise qui veut ça. Deux trois schnaps et six bonnes nuits plus tard, ça va aller ! Sibelius est à la vodka pour l’instant, aussi surpris que Flanagan par cette nouvelle mission impossible…
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Point tant de verve, n’ai… Intimidée, je suis, bien qu’admirative!
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Y a plus qu’à… je ne me suis pas encore attaqué à mes propres délires. On verra chère Mo.
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J’ai toujours adoré les niquedouilles; alors je ne laisserai pas passer celui-ci!
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Sans compter qu’il y a de nombreuses possibilités de rimes avec niquedouilles, chère Jacou…
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Oh là là…c’est quoi ce délire ???
Ou plutôt ce triple délire ?
Comment voulez-vous être sérieux…avec un sujet pareil…?
Moi qui voulais évoquer la crise économique, les problèmes écologiques, les dangers politiques qui nous guettent… comment vais-je bien pouvoir caser la moindre réflexion sensée à partir de consignes pareilles ?
Non, mais…nous refiler Faulbébert et son Sale Ambo…mâtiné de cannibalisme …. d’alligators gonflables et de télétubbies…vous croyez vraiment, Soeur Anne … que ça va coller à l’actualité ou à nos interrogations existentielles ????!!!!!!
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Chère Madame Licorne, je voudrais ici m’élever (les hommes politiques, vous le savez, sont champions de la chose) contre l’existentialisme de la béatitude autobloquante. Quand on porte un corne sur le devant de la tête, loin de moi de vous jeter le licou par dessus le cou, on fait profil bas, surtout le gauche car franchement, dans le miroir, y a comme une arête nasale qui gâche le paysage (plaine, prairie, toundra, tout plat, qwa !). Or, vous le savez, le plat pays qui est est le mien ne souffre pas ce genre de fioritures. Nous sommes en crise, sachez-le. Et en attendant votre participation à l’effort national, je vous invite à vous mettre à table (il y a du foin dans la grange trois étoiles juste à côté). Bien à vous.
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Wharf ! Y’en n’a qu’une pour oser, et elle l’a fait !
Je suis renversée, comme la crème. Oui, et alors ? Je préfère renversée à brûlée, quand même. Ou encore à fouettée… Anglaise, à la limite, soufflée, n’est pas jouer. Ok, je sors.
Il va me falloir un moment pour me remettre de l’idée, un moment pour y réfléchir, un moment pour avoir une idée, et enfin un moment pour l’écrire. Avec combien de retard, sinon, c’est possible ?
J’admire cette belle inspiration, Anne, oh combien complexe. 😀 😀
(Mais bon sang, où qu’c’est qu’elle va chercher tout ça !/!-?/?)
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« Une crème renversée vaut mieux qu’un lion gâteaux ». Ce proverbe saoudien nous rappelle combien notre existence d’humanoïde est précaire. Or au Caire, on ne se contente plus des vains morceaux, il nous faut du gras. Il est heureux que vous puissiez répondre à nos attentes, chère Madame, et dans l’espoir de voir notre commande entièrement comblée de bienfaits par vos soins, nous allons prier au parloir. Nous vous saluons entièrement de bas en haut.
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Je n’avais pas déjeuné ce matin ! merci à vous deux !
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A reblogué ceci sur Écri'turbulente, c'est en écrivant qu'on devient écrevisse.et a ajouté:
L’agenda de juin est ouvert 😀
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Bon, j’ai confié ton délire à Taurus. Nous adorons tous les deux. Mlle Dithyrambe se gratte discrètement la gorge et se demande dans quel vrai/faux bourg nous allons la conduire. Taurus et moi, on se contente de se gratter mutuellement la tête (c’est plus facile d’être synallagmatique pour l’apophyse mastoïde et la protubérance occipitale – mais néanmoins exubérante) en attendant que lumière vienne. Il paraît qu’en juin c’est moins improbable qu’en mai et plus probable qu’en janvrier.
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Taurus n’est pas à l’étranger pour quelque colloque ? Si Dithyrambe se gratte la gorge, à quelle sainte se vouer… Mais néanmoins, faites parvenir à ce cher professeur ma confiance absolue en sa scientifique moelle. La lumière viendra d’où elle pourra, de quelque orifice où elle se niche (et le cher homme en recèle beaucoup…).
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Ah ! Ah ! Excellent ! Je sens qu’on va se régaler avec des consignes pareilles 🙂
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Ou se jeter par la fenêtre, ce que je ne souhaite pas à mes participants. J’ai besoin de concurrents en forme ! Et avec un nom comme Délice, des lys, dé lisse, il y a de quoi s’attendre à tout…
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Et ben voilà, ça traine pas et ça rigole pas 🙂
vive l’agenda de juin !
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Garde à vous ! Et plumeau au taquet ! Veuillez redresser le toupet ! C’est bon, vous pouvez disposer !
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C’était à l’instant, faubourg de mon esprit, dans les jardins de l’hypothalamus que je me suis demandé s’il fallait aussi commencer les commentaires ainsi ?
J’avoue, j’adore grignoter de la phrase mais ce serait cannibale de fourbir tant et tant de mots à longueur de commentaire sans que notre propos ne mène à autre chose que niquedouille.
Sinon pralinée, la proposition de Juin reste salée et, pour s’atteler noblement à la réussite de cette tâche, je risque de devenir moins rentable vie-réellement-parlant… Fini le temps passé à sautiller et gambader dans les prés, je me cloître dès à présent dans une cave jusqu’à accomplissement de l’œuvre, tel Ulrik le brave, sympathique écrivain norvégo-islandais du XX ème siècle connu pour avoir séjourné 6 mois et 2 jours dans un réduit de 6m² avec juste un chat dans une boîte comme compagnie.
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Ce n’est quand même pas ton dernier mot ?
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Je le crains !
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Hmmmmmmmm… ça m’étonnerait !
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Faudra voir…
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Ayant plusieurs vies dans mon sac à puces, on peut imaginer que je dois bien avoir plusieurs textes dans l’escarcelle…
« Escarcelle », mot compte simple dont l’origine latine est d’ascendance islando-suédoise et dont la paternité revient à la tante de Feu Olerik le Preux, grand-père d’Ulrikcité ci-plus haut !
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Escares et selles, deux racines légendaires si ça se trouve !
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Rappelons simplement qu’Ulrik le brave, citoyen oh combien connu de l’histoire d’Islande, comme nous le cite à juste titre notre référence ci-dessus, peut être acheté également en pièces détachées (réf. Öklundy) de même que son chat en puzzle de kit (ou double)- Gyrmändy – (en solde pour l’instant). La phase faubourg quant à elle reste aléatoire.
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Il était judicieux de préciser cela !
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Un homme fût-il islandais en vaut trois. Un femme dix-sept, set et match.
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Sur des chapeaux de roue ! J’adore ton lancement, yes, ça me titille la friture à mort, et ça me libérera un temps de mon roman un poil plombant, cool ! Labizavit’ alors ! (à ne pas confondre avec « la vie, sa bite et mords »)
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Ou la biz à Liza, célèbre footeux corse ! ou Levis, Sabid et Mord, trois amis juifs, en encore la Visa vise et tord… on n’en sort pas.
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😀
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Bonjour Anne, j’aime particulièrement Flaubert et son Salammbô, et j’ai de même détourné cette phrase pour les Impromptus, je ne me rappelle pas à propos de quel sujet…ah, si : « C’était à Bethléem… »
Jean-Claude (JCP)
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Hé bé voilà, je l’ai trouvé mon aspirateur, heu, mon inspirateur. Oui, c’était ton texte qui commençait comme ça et il me semble que tu étais un peu triste que personne n’ait trouvé l’origine. Dis-toi donc que je t’adoube comme parrain officiel du lancement de cet agenda… qu’on se le dise haut et fort. Merci J.C.
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