Faux concours pour sourire et rire (ou pas) : agenda ironique de septembre

La maison ne recule devant aucun sacrifice. C’est pourquoi, gentil peuple de la blogueuse planète, je vous propose non pas une mais deux images, préludes à vos divagations pour un nouveau concours agenda ironique dont Jobougon nous a si bien commenté les tenants et aboutissants le mois passé. Faites vos jeux, une fois, deux fois, trois fois, rien ne va plus. Eblouissez-nous jusqu’au 20 septembre mais pour ce qui est des votes, je n’ai rien compris avant, c’est pas maintenant que je vais commencer…

Voici la première :

Et ceci est la deuxième :

Et ne croyez pas que je pars avec une longueur d’avance. D’habitude, chacun de mes textes est illustré par des collages ou des dessins que je choisis toujours après coup de sorte que le sens du texte précède les sens de l’illustration et donne une direction à l’image. Autrement dit, je ne me sers pas de l’illustration pour écrire, j’écris et ensuite l’illustration acquiert un sens grâce au texte, vous me suivez ?

Pour un peu plus de fun, que ce soit l’un ou l’autre des collages, ne le mentionnez pas : votre texte sera suffisamment explicite, ou pas, après tout.

Néanmoins, je me réjouis de vous lire et de sourire. Je vous imagine grattant vos neurones dont l’intense souffrance urticante vous permettra, n’en doutons pas, de nous faire part d’une inventivité que vous ne soupçonniez pas. J’ai hâte aussi de découvrir ces commentaires qui deviennent à la longue une sorte de drogue dont on devient vite accro et alors, hein, quel est l’antidote, quelles sont les établissements susceptibles de soigner une telle dépendance, je vous le demande ?

À l’immense attente de vous lire toutes et tous, je salue dès à présent bien bas une troupe de joueurs de clavier, de rigolards de la souris, de tournicoteurs de mots et de phrases qui reflètent l’immense amour de notre si belle langue. J’arrête, je vais pleurer !

 

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