Laberge (Marie), Le goût du bonheur. Gabrielle, Adélaïde, Florent.

Quelques bonnes raisons de lire ces trois pavés.

  • Vous avez du temps devant vous.
  • Vous souffrez de vague à l’âme.
  • Vous êtes à l’hôpital et vous devez tuer le temps, la maladie et l’ennui.
  • Vous êtes une femme.
  • Vous adorez les sagas familiales qui finissent bien et avec des  personnages sympathiques, attachants ou affreux, sales et méchants.

D’excellentes raisons de ne même pas les ouvrir :

  • Trop, c’est trop et vous préférez les petits livres et sans suite.
  • Vous êtes un homme, un vrai !
  • Vous êtes critique, un pur, un dur !
  • Au-delà de deux personnages, vous êtes perdu.
  • Le romantisme vous fait suer, les romantiques aussi.
  • Vous détestez ce genre de bouquins tout simplement, en gros et en travers. Les gouts, ça ne se discute pas et je  respecte.
  • Le Canada vous débecte, les Canadiens et leur accent aussi.

En ce qui me concerne, je n’ai pas boudé mon plaisir et je peux même dire que je les recommande chaudement ces pavés où l’on passe au travers de plusieurs générations pour détailler la condition de la femme. Puis-je même dire que j’ai adoré ? Je peux !

P.S. Il s’agit bien du « goût » du bonheur avec l’accent circonflexe sur le « u » qui disparait dans « les gouts » de la nouvelle orthographe (sans jeu de mot !).

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2 commentaires pour Laberge (Marie), Le goût du bonheur. Gabrielle, Adélaïde, Florent.

  1. Valentyne dit :

    Saga lue pendant mes vacances de l’an dernier : quelle histoire fabuleuse 🙂

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