Mankell (Henning), Les chaussures italiennes

Hors ses romans policiers dont je suis totalement fan, ce roman m’a fouettée comme la neige et le froid sur cette ile perdue de la Baltique, comme cette femme en déambulateur qui déboule (oui, oui) pour chambouler l’antihéros pas sympathique du tout. Il y a peu d’optimisme et pas trop de jolis sentiments dans cette histoire pourtant prenante, âpre et sèche.  Pourtant, la lecture est avide,  de rédemption, d’espérances, de regrets et de remords qui peuvent sans doute sauver un peu mais pas trop. Zut, ça n’a  pas l’air attrayant cette analyse mais autant je n’aime pas ces romans du Mozambique (Le cerveau de Kennedy, Le fils du vent, Tea-Bag) autant celui-ci m’a plu. D’ailleurs, s’il veut m’épouser, ce Mankell, je dis oui de suite.

P.S. Sa série policière avec le commissaire Kurt Wallander est absolument incontournable et même dans le désordre, tout est bon comme dans le cochon : La Faille souterraine et autres enquêtes, Meurtriers sans visage , Les Chiens de Riga, La Lionne blanche, L’Homme qui souriait, Le Guerrier solitaire, La Cinquième Femme , Les Morts de la Saint-Jean, La Muraille invisible, Avant le gel, L’Homme inquiet

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