Les incontournables (films-séries-etc.)

Mon ordre alphabétique est discutable. Mais on s’y retrouve. Du moins, moi. J’ai laissé tomber pas mal de films actuels car je ne vais plus que rarement au cinéma.  Mais je suis une fan inconditionnelle de bonnes séries principalement nordiques et anglaises et parfois (mais rarement) françaises.

LES SERIES

Les séries anglaises

Downton Abbey bien évidemment… À regarder en couple, en bande,  ou tout seul. Une série bien ficelée mettant en scène deux mondes, la noblesse anglaise very british et leur domesticité dans un château so typical.  Ça commence avant la Première Guerre mondiale, au naufrage du Titanic,  et se poursuit après la Première Guerre mondiale . C’est donc l’histoire d’un monde qui change.

Broadchurch, pour les acteurs et pour le suspense, une detective story si bien ficelée à la sauce british, of course.

Marcela, par le même scénariste que celui de la série danoise The Bridge. Incontournables l’une et l’autre.

The Crown. Admirable pour ce scénario de la vie très privée de la reine d’Angleterre, Elisabeth II , en toute intimité !

Sherlock, l’indispensable Cumberbach.

Peaky Blinders. Toutes les saisons évidemment même si la troisième est moins bonne contrairement à la quatrième, magistrale. La musique, Tom, et toute la bande. Mon fils Renaud l’adorait.

Call de midwife. À regarder sans homme sauf s’il est sage-femme. Cette série est exclusivement consacrée aux sages-femmes et à leurs parturientes : une équipe de bonnes sœurs hautes en couleur, fortes en gueule,  assistées par quelques laïques de la bonne société dans un quartier défavorisé de Londres dans l’après Seconde Guerre mondiale.

The night manager. Super suspense. Bel homme.

Inspecteur Morse et Les enquêtes de Morse. Jeune (Shaun Evans) ou vieux (Kevin Wathely), de bonnes vieilles enquêtes anglaises pur jus. Les meilleures. Comme celles de l’incontournable Inspecteur Barnaby, l’original et son cousin qui lui succède, dans cette Angleterre tranquille, au charme incontestable, aux roses et aux jardins inimitables, au venin distillé et soigneusement entretenu par des générations d’auteurs de romans policiers.

Top of the lake. De Jane Campion. Un univers malsain à souhait mais une série scotchante. Et la deuxième saison l’est tout autant, perverse à souhait.

Molly, une femme au combat.

Les séries américaines

Peut-on passer à côté des Game of Throne ? Evidemment pas ! Sexe, violence, trahison, cruauté et crudité (des dialogues et des scènes) et le fantastique aussi, forment les paris gagnants d’une série d’Heroic Fantasy enthousiasmante à tous points de vue.

Treme

Les séries nordiques

A peu près toutes celles qui passent sur Arte et celles que je trouve ailleurs.

The Bridge. Accrochez-vous.

Borgen, intelligent, intéressant, un suspense politique magistral.

The Team, une enquête internationale qui passe par la Belgique.

The Killing. Glagla…

Norskov, dans le secret des glaces. Réfrigérant.

Bankerot, coup de feu en cuisine. Un régal.

Real humans. Ca fait froid dans le dos, ces répliques d’humains qui ont une âme et un corps. Vous voyez une différence entre les deux , vous ?

Meurtre au pied du volcan. Un huis-clos gelant.

Lilyhammer. Et drôle en plus.

Les séries françaises (généralement nullissimes mais…)

Dix pour Cent, pour le jeu des acteurs qui jouent leur propre rôle et pour le scénario, simplissime mais brillant. Pour Luchini, pour Cécile de France, pour Juliette Binoche et tous les autres.

Signature avec Sami Bouajila et Sandrine Bonnaire. Un générique à tomber par terre, un scénario en béton, une fois n’est pas coutume.

Une série espagnole

La Casa de papel, absolument divertissante pour ce scénario invraisemblable d’un braquage monté et organisé par Le Professeur. Ça part en c… mais on s’amuse.

Quelques films

Qui ont un peu pâli pour certains. Je vieillis et ne les répertorie quasi plus. Je suis has been en ce qui concerne les nouveautés.

– A

Le A d’ Almodovar (sauf Mala Education, trop dur pour moi).

Les autres (The Others) avec Nicole Kidman. Ne rien dévoiler de l’histoire de cette famille à trois, la mère et les deux enfants, qui attendent le retour du père.

L’arme fatale (les 4) avec Mel Gibson et Dany Glover qui pètent la forme. « Je suis trop vieux pour ces conneries » est une de mes phrases fétiches (au féminin !).

L’armée des 12 singes de Terry Gilliam avec Bruce Willis et Brad Pitt. Je passe les mots pour la critique à mon ami Tony Denayer : « Un film de science fiction qui se passe dans le futur, après que l’humanité a été en grande partie décimée par un virus. Une intrigue complexe qui tient le spectateur en haleine, une ambiance lourde et inquiétante. Une prestation extraordinaire de Bruce Willis, interné de force dans un asile de fous. Un grand film à suspense qui fait tourner les neurones à plein tube pour comprendre ce qui se passe. Et au passage, dans certaines scènes, j’y ai aussi vu un éclairage cru sur le monde des institutions psychiatriques. »

– B

Bagdad Café. Grandiose, avec une Marianne Sägebrecht en Jasmine, forte femme de l’évangile au coup de balai teuton qui sort le Bagdad Cafe de la mouise collante dans lequel il s’enlise. Jack Palance amoureux de ses rondeurs est à mourir et le morceau Calling you de Bob Telson chantée par Jevetta Steele avec un pointe d’harmonica me flanque la chair de poule encore et toujours.

Beignets de tomates vertes. Ninny Threadgoode (Jessica Tandy), vieille dame au grand sourire raconte sa vie à la dépressive Evelyn Couch (Kathy Bates) en visite à l’hôpital où la tante détestable de son mari se fait un plaisir de l’humilier. C’est un si joli film que je l’ai vu au moins trois fois et quand il repassera, je regarderai une quatrième et ainsi de suite.

Le Bon, la Brute et le Truand avec le beau blondinet Clint Eastwood, la brute Lee Van Cleef et  le truand  Ellie Wallach. Le top du top du western spaghetti de Sergio Leone avec la musique d’Ennio Moricone évidemment. Pour Super Véro, l’étudiante d’alors qui logeait chez nous, c’était un sommet et elle m’a passé le virus.

Le Boulet toujours pour Benoît Poelvoorde. Ca va chier, grave !

Buena Vista Social Club est le film documentaire que Wim Wenders tourna pour expliquer l’histoire de la musique cubaine des années 30 à 50 qui disparut avec le régime de Fidel Castro.  Film social, musical et politique,  il fit grand bruit à sa sortie quand on put redécouvrir la voix d’Ibrahim Ferrer et de Compay Segundo. A voir, à écouter, à savourer…

The grand Budapest Hotel de Wes Anderson. Ce réalisateur déjanté raconte l’histoire de Gustave H (Ralph Fiennes), concierge au Budapest Hôtel, palace fréquenté dans l’entre-deux-guerres par toute la bonne société huppée et de Zéro Moustafa (F. Murray Abraham). Ils vont se retrouver impliqués dans une guerre de succession pour un tableau d’une valeur inestimable. Quel film extraordinaire aux images et aux couleurs plus somptueuses les unes que les autres… Réalisateur de La famille Tannenbaum, de  La vie aquatique, du Fanstastic Mr Fox, ou encore de A bord du Darjeeling Limited, de Moonrise Kingdom,  Wes Anderson est à conseiller à tous les pétés de la planète et les fans de bon cinéma.

– C

Carnets de voyage (Diarios de Motocicleta). Dans les années 50, le futur Che (Guevara de la Serna) part en moto avec son ami Alberto pour faire un tour du pays, ce qui sera décisif pour son avenir. Film intéressant qui donne envie de replonger dans sa jeunesse et de repartir sur les routes.

Le cinquième élément de Luc Besson. Génialissime et cultissime.

– D

Danse avec les loups avec Kevin Costner, le premier acteur dont je suis devenue raide dingue. Il faut dire que tout seul perdu au milieu des plaines du Dakota et du Wyoming, on ne peut pas ne pas en tomber amoureuse ! Et puis, c’est aussi dramatique : les blancs, l’armée américaine, commencent le génocide des Indiens.  Film puissant, très fin, d’une lenteur profonde et indispensable, il est incontournable.

Dona Flor et ses deux maris, petit film brésilien, impertinent !

Pour les trois premiers Don Camillo (Le petit monde, Le retour et la grande bagarre de Don Camillo).

– E

Et au milieu coule une rivière. Film de Robert Redford avec un Brad Pitt exceptionnel au milieu des paysages époustouflants du Montana.

– F

– G

La Guerre des étoiles. Personnellement, je suis une adepte inconditionnelle depuis les numéros 4, 5, 6 puis 1, 2, 3, le tout dans l’ordre ou dans le désordre. Que la force soit avec nous ! J’attends le septième opus avec l’impatience de mon chien devant une frite belge évidemment.

La grande vadrouille en boucle. « Il n’y a pas d’hélice, hélas. C’est là qu’est l’os ! » est l’une des phrases culte de ce film dont on pourrait être dégouté à le voir et à le revoir programmé par plusieurs chaines de télévision au moment de Noël chaque année. Incroyable, je me laisse encore avoir !

– I

Ice Age, découvert lors d’une journée cinéma à l’école quand mes enfants étaient petits. J’en suis restée à jamais fan ! L’écureuil qui n’attrape jamais sa noisette me fait hurler de rire.

Il était une fois dans l’ouest, et pas que pour l’harmonica de Toots Tielemans. L’affreux Henri Fonda contre le justicier vengeur et silencieux Charles Bronson : un monument des westerns spaghettis de Sergio Leone avec la musique inoubliable d’Ennio Morricone.

Tous les Indiana Jones que je vois et revois sauf le dernier. Harrison Ford qui n’a jamais été beau et ne le sera jamais me fait pourtant craquer. Voilà le secret du charme ravageur.

Indian Palace ou The Best Exotic Marigold Hotel met en scène une pléiade d’acteurs anglais tous plus jouissifs les uns que les autres. Antidote au cafard, antidépresseur, et sérieusement enthousiasmant, ce film est à mettre entre toutes les mains, sous toutes les mirettes. Et puis l’acteur indien, propriétaire du Palace,  est le jeune homme de Slumdog Millionaire, Dev Patel, remarquable.

– J

Jurassic Park (surtout le premier). Je me rappelle la file lors de la sortie du premier : nous n’avions jamais vu ça ! Et le choc de l’appartion du T-Rex, Seigneur, j’en ai encore des frissons d’horreur.

Le jour d’après, prémonitoire. New York sous l’eau et la neige, c’est tout simplement apocalyptique. Attention au réchauffement climatique, on ne le dira jamais assez.

– K

Kill Bill, vol. 1 et 2,  et tout Tarantino. Fan, je suis,  de tous ses films et spécifiquement les Kill Bill. David Karadine est abominable alors que j’ai encore dans la tête le feuilleton que je regardais toute petite, Kung Fu. Uma Thurman de jaune vêtue y est implacable et somptueuse. D’une violence extrême, Kill Bill se regarde néanmoins comme une sorte d’énorme dessin animé qui permet de supporter l’insoutenable et l’improbable de scènes hallucinantes. Je viens de voir Django unchained, du tout bon, du grand, du pur, du dur, un film où l’humour côtoie la violence et la vengeance dans ce western qui a toutes les qualités d’un bon classique.

– L

Légendes d’automne, d’après le roman de Jim Harrison, un des auteurs dont je suis totalement fan. Avec Aidan Quin, Brad Pitt et Anthony Hopkins, un grand et beau film dans le Montana cher à l’auteur du roman.

Little Miss Sunshine, petit film indépendant américain, super. C’est l’histoire d’une famille qui s’embarque en caravane pour aller présenter un concours de beauté dont leur gamine grassouillette rêve depuis toujours !

– M

La maison aux esprits mais le livre est beaucoup mieux encore !

Men in Black, tous, c’est très drôle en plus. Et puis, j’adore Tommy Lee Jones et tous les fims qu’il a tournés comme réalisateur ou acteur.

The Mission, une musique sublime d’Ennio Moricone (encore lui) pour un film engagé avec un De Niro remarquable comme toujours, implacable et un Jeremy Irons totalement séduisant malgré ses habits de jésuite.

Nos meilleures années, (La meglio Gioventu) splendide fresque de l’Italie des années 60, réalisé par Marco Tullio Giordana en 2003.

– N

– O

Out of Africa, pour les paysages, pour Merryl Streep, pour Robert Redford, pour tout le reste. A pleurer au sens propre et figuré. Et puis, lire La ferme africaine de Karen Blixen pour compléter le tout est indispensable.

O’Brother, des frères Coën, décalé et décapant avec un Georges Clooney encore méconnu et absolument hilarant.

L’odeur de la papaye verte est un film franco-vietnamien réalisé par Tran Anh Hung et sorti en 1993.  Il raconte l’histoire d’une jeune domestique qui entre au service d’une riche famille ruinée. Elle découvre avec émerveillement l’odeur et les couleurs des papayes vertes de la cour intérieure de la maison. C’est tellement beau qu’on en reste éperdu de contemplation. A voir en prenant tout son temps et en s’installant dans la douceur d’un après-midi sous la rosée des feuilles de papayes. C’est beau à tomber par terre.

– P

Papy fait de la résistance et pas que pour Jacqueline Maillan, quoique. Tous les acteurs sont fantastiques.  Jacques Villeret chantant Je n’ai pas changé avec sa moustache hitlérienne, hilarant !

Le Parrain de F.F. Coppola. Rien à dire tellement c’est fort, c’est grand, c’est un des classiques incontournables de ma médiathèque et de mon mental.

Philadephia, le premier film sur le Sida avec un Tom Hanks remarquable.

Le piano  de Jane Campion où j’ai découvert cette actrice fantastique qu’est Holly Hunter.  Tous les autres films de Jane Campion sont extraordinaires :  Sweetie, Un ange à ma table, Holy Smoke et  y compris sa série Top of the lake. Elle y met en scène de grands rôles féminins. Incontournable !

La part des anges (The Angels’ share) de Ken Loach, (l’Ecossais dont l’œuvre est incontournable) raconte le parcours  d’un délinquant pour sortir de l’ornière et devenir un père convenable en devenant un nez dans le whiskey. Si vous ne comprenez pas ce résumé, ce n’est pas grave, regardez ce film.

– Q

Quatre mariages et un enterrement de Mike Newell avec pour la première fois chez nous un Hugh Grant séducteur et irrésistible et une pléiade d’acteurs anglais plus éclatants les uns que les autres. Il faut le voir en version originale sous-titrée, c’est mieux, et le revoir en boucle pour en apprécier tous les détails comme la prestation de Rowan Atkinson, Mr. Bean, en curé !

– R

Rencontre avec Joe Black (Meet Joe Black) avec Anthony Hopkins, fabuleux comme toujours et Brad Pitt mystérieux et beau, beau, beau. Un grand film tout en finesse. A voir et à revoir (je l’ai vu trois fois).

– S

Searching for Sugar Man. L’histoire vraie de Rodriguez incroyable auteur compositeur interprète de la veine d’un Bod Dylan et qui devint l’égal d’un Elvis Presley en Afrique du Sud mais pas dans le même genre !  Ses chansons magnifiques sont devenues des hymnes anti-apartheid. Un documentaire extrêmement poignant sur un homme humble et obscur. Le réalisateur de ce documentaire se suicida après le tournage.

Le sixième sens de M. N. Shyamalan. Même s’ils ne sont pas tous au même niveau que ce premier film, ses autres productions (Le village, Incassable, Signes, La jeune fille de l’eau), démontrent son originalité avec des scénarios où s’entremêlent le fantastique et le réel.

Le Seigneur des Anneaux (les 3 et en version longue).

Le Silence des agneaux dont le film est un exemple de respect du livre dont il tire son scénario. Flippant, Hannibal Lecter (Anthony Hopkins) nous entraîne dans la démence très normale d’un serial killer abominable et l’on a extrêmement peur pour Jodie Foster. Les autres films qui en découlent Dragon rouge, Hannibal et Les Origines du mal sont dans la même veine. Epoustouflants de peur.

– T

Tarantino (voir Kill Bill)

 

17 commentaires pour Les incontournables (films-séries-etc.)

  1. Frog dit :

    J’ai vu et aimé un certain nombre de ces films. Je crois que mon film préféré est Pulp Fiction. 🙂

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  2. Il y a quelques films dans la liste qui pourraient faire partie de la mienne, indubitablement… Beignets de tomates vertes (j’y pense souvent), la Grande vadrouille (« vous aimez ce qui est bon, c’est très mauvais… Et dites-moi mon fils, à votre place, je me ferais quand même examiner ce foie o;) – mais il y en a d’autres que j’ajouterais, Master and Commander, rien que pour la scène finale, quand le voilier (une corvette?) du capitaine (Aubry?) fait demi-tour pour partir à la poursuite du voilier français… Au grand dam du médecin entomologiste… Il y a Almodovar, c’est sûr, surtout Talons aiguilles… Mais je suis loin de les avoir tous vus. Marie-Antoinette, la Jeune fille à la perle… C’est compliqué de faire une liste exhaustive des films qu’on a aimés.

    Je suis allée voir Carol, vendredi, avec l’actrice américaine qui a remporté le prix d’interprétation féminine à Cannes, en 2015 (ex-aequo avec une Française) – dans le rôle de Thérèse Belivet. J’ai bien aimé, sauf que j’ai eu des pensées impertinentes – à voir Carol fumer sans arrêt, je me suis dit qu’elle ne ferait pas de vieux os et que dans les films où une femme fume avec élégance, il manque tout de même l’odeur exécrable du tabac froid…

    Tiens, cela pourrait faire le thème d’un article…

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    • Je ne connais pas Carol mais il est certain que nous ne pouvons pas tout mentionner et que certaines scènes restent à jamais gravées dans l’esprit, par l’image ou par les phrases cultes : « il n’y a pas d’hélices hélas, c’est là qu’est l’os ! » « C’est fin, c’est fin, ça se mange sans fin » etc. passent dans le langage courant au point qu’on en oublie l’origine, quasi ! Et puis, la tête coupée du cheval dans le lit, mémorable dans Le Parrain. Merci Pivoine pour ce long commentaire.

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  3. filamots dit :

    Bonsoir,
    J’arrive de chez Jacou, une voisine du 33 😉 et j’arrive sur ce sujet de prédilection, où je retrouve pas mal de titres que j’ai vus, tous avec beaucoup de bonheur. Il y en a que je n’ai pas vu comme les frères Tarantino, cela ne passe pas, il n’y a rien à faire. 🙂 Et pourtant, je suis d’origine Belge, bon cela n’a peut-être rien à voir, mais notre esprit quelque peu surréaliste, et surtout le mien, (merci Ego), aurait dû me rendre service. 🙂
    Je profite de cet article pour une tite présentation à une compatriote. Je suis née à Bruxelles, y ai vécu jusqu’à mes 54 ans, et ensuite ai « émigré » en me mariant avec un Bordelais de pure souche. Bordeaux, une ville de ❤
    A bientôt Anne, j'essaie de comprendre le sujet ironique du mois d'octobre, et jusqu'à présent sans succès. "Je suis dure de comprenure" 😉
    Geneviève

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    • Bonjour. Je suis ravie de recevoir un commentaire d’une compatriote exilée dans ce beau pays à la dive bouteille. Il n’y a rien à comprendre dans l’Agenda. Il s’agit de pondre un texte avec l’une des 4 phrases proposées par Jacou33: c’est à la fois simple et compliqué car il faut évidemment créer une histoire autour de ces propositions. Je me tords le ciboulot depuis hier soir car ça ne vient pas tout seul (et peut-être que je n’y arriverai pas car le principe est quand même d’être drôle mais pas forcément). Bref, c’est en quelque sorte un atelier d’écriture. Voilà, Geneviève, à bientôt et au plaisir peut-être de vous lire ?

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  4. ◘ẅ◘ dit :

    Entièrement d’accord avec cette liste

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  5. jolie liste ! si, un jour, je vais au cinéma, je m’en rappelerais.
    juste une précision sur Buena vista social club : le silence de Compay Segundo et de ses copains sous le régime castriste, c’est la conséquence de la fermeture des casinos et des bordels ousqu’lis jouaient pour les américains qui venaient mettre leur puritanisme en pause (du coup, c’est au Mexique que ça se passe maintenant). Donc rien de personnel, dommage collatéral. Mais dommage quand même.

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  6. Adeline dit :

    Chouette, moi qui suis toujours entrain de chercher une idée de film classique à regarder. Merci pour cette liste.

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